Tu as des ballonnements et tu as le ventre qui gonfle ? Tu as déjà essayé de prendre des probiotiques pour résoudre cette problématique sans vraiment de succès ?
C’est normal ! Quand tu fais une recherche sur internet, c’est bien souvent ce qu’il est conseillé de faire…
Pire : cette obsession des probiotiques est un piège marketing savamment orchestré.
Savais-tu que le marché des probiotiques pèse plus de 19 milliards de dollars en 20241 ? Les marques surfent sur notre désir de solutions rapides, en nous faisant croire qu’une gélule peut remplacer des années de déséquilibres…
Mais voici ce qu’on ne te dit jamais :
- 70 à 90 % des souches probiotiques non protégées vendues en pharmacie ne survivent pas à l’acidité de l’estomac2.
- Certaines souches (comme Saccharomyces boulardii) peuvent aggraver les ballonnements chez les personnes souffrant de SIBO (pullulation bactérienne de l’intestin grêle)3.
- Les probiotiques ‘génériques’ (type Lactobacillus acidophilus) sont souvent inutiles, car ils ne ciblent pas les déséquilibres spécifiques de ton microbiote.
Alors, si les probiotiques ne sont pas la solution contre le ventre gonflé et les flatulences, pourquoi continue-t-on à te les vendre comme telle ?
Parce que l’industrie pharmaceutique et les influenceurs santé préfèrent te vendre un rêve… plutôt que de t’aider à comprendre la vraie cause de tes ballonnements.
Les probiotiques contre les ballonnements : un allié temporaire
Si tu souffres de ballonnements, prendre des probiotiques est une mauvaise solution.
Sur le moment, lorsque tu vas en prendre, tu vas te sentir mieux, moins ballonné.e et ton ventre sera sans doute plus plat, moins gonflé.
Néanmoins, laisse-moi te dire que c’est une solution temporaire.
Dès que tu vas arrêter de prendre les gélules “magiques”, tes problèmes de ballonnement vont revenir de plus belle.
Cela risque de te coûter cher sur le long terme ! Et franchement, tu n’as pas envie de prendre des comprimés toute ta vie, si ?
Le risque des probiotiques contre les ballonnements
Les probiotiques contre les ballonnements peuvent fonctionner un temps mais ils peuvent aussi ne pas fonctionner du tout (autant jeter ton argent par la fenêtre !).
Et ça, c’est si tu as de la chance.
Ton microbiote intestinal est composé de 10 000 à 100 000 milliards de bactéries.
Une gélule de probiotiques en contient généralement 10 milliards.
Autant te dire que prendre un probiotique est une goutte d’eau dans l’océan de bactéries qui peuplent ton intestin.
Malheureusement, si tu es moins chanceux.se, prendre des probiotiques peut aussi empirer tes problèmes de ballonnements.
Mais alors que faire pour lutter contre les ballonnements ?
Les probiotiques vont simplement venir “masquer” le problème, un peu comme lorsque tu mets du maquillage sur un bouton blanc. Tu camoufles mais tu ne fais rien pour te débarrasser de l’imperfection ou des causes.
Le paradoxe des probiotiques
Imagine que ton microbiote est un jardin.
Les probiotiques sont comme des graines jetées au hasard en espérant qu’elles poussent… sur un sol appauvri, pollué ou inondé (par le stress, la malbouffe, les antibiotiques).
Résultat : Les bonnes bactéries ne s’implantent pas, et les mauvaises continuent de proliférer.
Une étude de Weizmann Institute (2021)4 a montré que chez les patients souffrant de syndrome de l’intestin irritable, les probiotiques ne colonisent l’intestin que pendant 2 semaines maximum avant d’être éliminés. Pire : dans 30 % des cas, ils déséquilibrent encore plus le microbiote existant.
Pourquoi ça marche (un peu) au début ? Les probiotiques produisent temporairement des enzymes digestives (comme la lactase) qui aident à dégrader les aliments. Mais une fois le traitement arrêté, ton corps redevient dépendant… comme un drogué en manque.
| Le saviez-vous ? |
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| Les probiotiques les plus vendus (type Ultra-Levure) contiennent des souches génériques qui ne survivent pas au-delà du côlon. Pour agir sur les ballonnements, il faudrait des souches ciblant l’intestin grêle (comme Lactobacillus plantarum 299v), bien plus rares et chères. |
Les ballonnements, les flatulences, le ventre gonflé = une information donnée par ton corps
Déjà, je te conseille de voir les ballonnements comme un signal de ton corps (une information, comme lorsque que tu as de la fièvre : ton corps lutte alors contre une infection) et non comme un dysfonctionnement à éradiquer à tout prix.
Quand tu ballonnes, ton corps envoie un signal de détresse. Un ventre gonflé peut signifier de nombreuses choses :
- Un manque de diversité alimentaire : ton microbiote crie famine ! Une étude publiée dans Cell (2019)5 a comparé le microbiote de chasseurs-cueilleurs africains à celui d’Européens. Résultat : les premiers ont 40 % de bactéries en plus, et presque aucun ballonnement. Pourquoi ? Leur alimentation contient 100x plus de fibres que la nôtre ! Ce n’est pas un hasard si les régimes pauvres en FODMAPs (qui éliminent les fibres) aggravent les ballonnements à long terme (Halmos et al., 2014)6.
- Une protection contre les pathogènes : les gaz et flatulences servent à quelque chose ! Ils inhibent la croissance de bactéries dangereuses (Kajihara et al., 2017)7. Tu sors d’une gastro-entérite ? C’est normal que ton microbiote soit perturbé… Les gaz sont même le signe qu’il se reconstruit.
- Un « burnout » digestif : tu as tout essayé sans résultat et tu te focalises sur le problème. Tu es donc entré dans un cercle vicieux et ton cerveau associe la nourriture à la douleur.
- Une surdose de malbouffe : les émulsifiants comme le polysorbate 80 qu’on retrouve dans les produits transformés (principalement sauces, bouillons, produits laitiers aromatisés…) perturbent l’équilibre de la flore intestinale en 2 semaines seulement (Chassaing et al., 2015)8. Ton intestin devient une « passoire », laissant passer des toxines qui provoquent ballonnements et inflammation.
- L’impact des antibiotiques : tu as été sous antibiotiques récemment ? Il est normal que ton microbiote soit déséquilibré. Mais ce qu’on oublie aussi, c’est que les antibiotiques se retrouvent également dans la viande que nous consommons.
- Le stress : un taux élevé de cortisol modifie la perméabilité intestinale. Le lien entre stress et ballonnements est bidirectionnel. Ton intestin produit 90 % de ta sérotonine (le neurotransmetteur du bien-être). Quand tu es stressé.e, ton cerveau prive ton intestin de sang (via le nerf vague), ce qui ralentit la digestion.9.
| Tes ballonnements sont-ils liés au stress ? |
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| Est-ce qu’ils empirent avant un rendez-vous important ou le dimanche soir ? As-tu remarqué un lien avec tes cycles de sommeil (ex. : ballonnements après une nuit blanche) ? Si oui, ton problème est neurologique, pas juste digestif. |
Tu te retrouves déjà peut-être dans une de ces situations énoncées. Alors voici ce que je te conseille.
N’oublie pas que les ballonnements ne sont pas un problème individuel mais un symptôme de notre époque
Quand tu recherches « quelle souche de probiotique pour lutter contre les ballonnements ? » ou « quel aliment éviter pour avoir le ventre plat ? », tu prends la responsabilité de ton microbiote. Et c’est une très bonne chose, je ne dis pas le contraire !
Mais idéalement, tu ne devrais pas être responsable seul.e du bien-être de ton intestin.
Or, aujourd’hui, les médecins généralistes n’ont pas le temps d’explorer les causes de tes ballonnements avec des consultations moyennes de 15 minutes et te disent donc de prendre un probiotique. Pire, les assurances ne remboursent pas les tests de microbiote avancés.
Le vrai scandale : On te fait porter la responsabilité de ton microbiote… alors que 70 % des déséquilibres viennent de notre environnement (source : American Gut Project)10. Voici les coupables silencieux :
- L’agriculture industrielle :
- Les antibiotiques donnés aux animaux d’élevage se retrouvent dans 80 % des viandes vendues en supermarché (EFSA, 2021)11. En France, selon l’ANSES en 2021, c’est 71 % des volailles qui contiennent des résidus d’antibiotiques…
- Les pesticides (comme le glyphosate) tuent les bactéries intestinales bénéfiques12.
- La malbouffe ultra-transformée :
- Une étude a montré que 3 repas riches en additifs suffisent pour modifier durablement le microbiote.
- Le titane dioxyde (E171), présent dans les bonbons et chewing-gums, favorise l’inflammation intestinale (Bettini et al., 2017)13.
- La société du ‘toujours plus’ :
- Le stress chronique réduit la diversité microbienne de 30 % (Karl et al., 2018)14.
- Les femmes sont deux fois plus touchées par les ballonnements que les hommes (à cause des hormones et de la charge mentale).
| Chiffre choc ! |
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| 1 Français sur 3 souffre de ballonnements chroniques (sondage Ipsos, 2023)15. |
Alors, comment faire quand tout est contre toi ?
Moi, je te propose de reprendre le contrôle, étape par étape. Pas avec des gélules probiotiques qui agissent comme un patch, mais avec une stratégie globale qui agit sur les vraies causes de ton inconfort.
La méthode en 3 étapes pour dire stop aux ballonnements (même quand tu as déjà tout essayé)
Pour dire stop aux ballonnements et garder un ventre plat, je te donne les trois étapes à suivre.
Etape 1 : Identifie les dérèglements qui te font ballonner
Il peut s’agir d’une pullulation fongique, d’une pullulation bactérienne, d’un manque d’acidité stomacale…
Pour cela, tu peux réaliser des tests simples sans avoir besoin de faire une prise de sang ou des analyses complexes. Commence par faire mon quiz offert !
N’oublie pas qu’un dérèglement du microbiote peut être temporaire !
Etape 2 : Adopte un protocole pour rééquilibrer ton microbiote
Après avoir réalisé les tests, tu sauras pourquoi tu ballonnes.
En fonction des résultats obtenus, il faudra mettre un protocole en place fait sur mesure pour toi.
Car tu es unique et ce qui fonctionne pour ta copine Martine ou ta belle-soeur Sandra ne fonctionnera peut-être pas pour toi.
A chaque cause, sa solution.
Ce qui fonctionne en revanche à tous les coups, c’est de travailler sur ta tolérance en introduisant la méditation dans ton quotidien et/ou en initiant une thérapie cognitivo-comportementale.
| Bon à savoir ! |
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| Les ballonnements sont parfois liés à des traumas précoces. Des études sur des souris séparées de leur mère dès la naissance (un modèle de traumatisme précoce) montrent que ce stress altère durablement leur microbiote intestinal, les rendant plus anxieuses et sujettes aux troubles digestifs à l’âge adulte. Chez l’humain, des mécanismes similaires pourraient expliquer pourquoi les personnes ayant vécu des négligences ou des abus dans l’enfance souffrent plus souvent de syndrome de l’intestin irritable (SII) ou de ballonnements chroniques [De Palma, 2015 ; O’Mahony, 2009] |
Etape 3 : Conserve un microbiote équilibré durablement
Une fois les causes identifiées et l’équilibre de ton microbiote retrouvé, tu pourras mettre en place une alimentation adaptée afin de conserver un ventre plat et de ne plus souffrir de ballonnements.
Pour éviter les rechutes, voici une routine dont tu peux t’inspirer (mais attention : je te conseille de faire mon quiz pour connaître précisément la cause de tes ballonnements et connaître mes solutions selon ta problématique) :
- Pilier 1 : la diversité alimentaire
- Objectif : 30 plantes différentes par semaine (fruits, légumes, céréales, noix).
- Pourquoi : Une étude sur 10 000 personnes10 a montré que ceux qui mangent +30 plantes/semaine ont 40 % moins de ballonnements.
- Pilier 2 : le jeûne intermittent
- 16h de jeûne (par exemple : dîner à 20h, petit-déjeuner à 12h) 3x/semaine.
- Effet : Stimule l’autophagie (nettoyage cellulaire) et réduit l’inflammation (de Cabo & Mattson, 2019)16.
- Pilier 3 : la gestion du stress
- Technique du 4-7-8 (inspire 4 secondes, bloque 7 secondes, expire 8 secondes). Cela réduit les ballonnements de 50 % en 1 mois (Ma et al., 2017)17.
- Écrire un journal : 10 minutes/jour pour évacuer ses émotions. Cela fait baisser le cortisol (Pennebaker, 1997)18.
- Pilier 4 : l’éviction des perturbateurs
- Liste noire : Émulsifiants (E433, E466), édulcorants (sucralose), pesticides (glyphosate).
- Alternative : Cosmétiques bio (les parabènes des crèmes passent dans le sang et perturbent le microbiote).
- Pilier 5 : le mouvement quotidien
- 20 minutes de marche après les repas accélère la vidange gastrique19.
- Le yoga (et notamment la posture du cobra) masse les organes digestifs et réduit les gaz. Tu peux aussi masser directement ton ventre avant d’aller te coucher notamment.
Je t’accompagne pour dire stop aux ballonnements
La vérité que personne ne te dit : les ballonnements ne sont pas une malédiction, mais un message.
Un message qui te dit :
- Ralentis : ton corps est en surrégime
- Mange mieux : ton intestin a besoin de nourriture vivante
- Guéris tes blessures : ton stress et tes émotions s’expriment aussi par ton ventre
Ça te semble compliqué d’appliquer tout ça seul.e ?
Je te comprends, je suis aussi passée par là. Trouver les causes de ses ballonnements seul.e peut être un parcours du combattant, surtout lorsque tu vas voir des médecins, que tu fais des prises de sang et qu’ils te disent que “tout va bien”.
C’était mon cas. Mais je n’ai pas lâché, je savais que quelque chose clochait.
Et j’ai trouvé !
Aujourd’hui, je garde un ventre plat du matin au soir, même après manger. Je te partage tout ce que j’ai appris tout au long de mon parcours dans mon programme Harmonie Ventre Plat, la méthode complète pour dire stop aux ballonnements en moins de trois semaines !
Ce que tu gagnes en suivant mon programme Harmonie Ventre Plat :
✅ Un ventre plat naturellement (sans compter les calories).
✅ Une digestion sans douleur (même après un repas copieux).
✅ Moins d’anxiété (ton intestin produit 90 % de ta sérotonine).
✅ Une immunité boostée (80 % de ton système immunitaire est dans ton intestin).
Mais attention : Cette approche demande du temps et de la patience. Ce n’est pas une pilule magique. C’est un retour à l’équilibre, comme réapprendre à marcher après une entorse.
Je t’accompagne pas à pas pour que tu te débarrasses enfin de tes ballonnements douloureux une bonne fois pour toutes. Rejoins-moi !
Sources
- Mordor Intelligence. « Europe Probiotics Market – Growth, Trends, and Forecasts (2024-2029). » Mordor Intelligence, 2024. https://www.mordorintelligence.com/industry-reports/europe-probiotics-market Consulté le 19 novembre 2025
- Kailasapathy, Kasipathy. « Survival of Free and Encapsulated Probiotic Bacteria in Acidic and Bile Salt Conditions. » International Dairy Journal, vol. 12, no. 12, 2002, pp. 1041-1045, https://www.researchgate.net/publication/222646156_Survival_of_free_and_encapsulated_probiotic_bacteria_and_effect_on_the_sensory_properties_of_yoghurt Consulté le 19 novembre 2025
- Zhong, Chao, et al. « Probiotics for Preventing and Treating Small Intestinal Bacterial Overgrowth: A Meta-Analysis and Systematic Review of Current Evidence. » Journal of Clinical Gastroenterology, vol. 51, no. 4, 2017, pp. 300-311. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27306945/ Consulté le 19 novembre 2025
- Zmora, Niv, et al. « Personalized Gut Mucosal Colonization Resistance to Empiric Probiotics Is Associated with Unique Host and Microbiome Features. » Gastroenterology, vol. 155, no. 3, 2018, pp. 734–745, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30193112/. Consulté le 17 novembre 2025
- Smits, Samuel A., et al. « Seasonal Cycling in the Gut Microbiome of the Hadza Hunter-Gatherers of Tanzania. » Cell, vol. 178, no. 3, 2019, pp. 506–521, https://doi.org/10.1016/j.cell.2019.06.035. Consulté le 17 novembre 2025
- Halmos, Emma P., et al. « A Diet Low in FODMAPs Reduces Symptoms of Irritable Bowel Syndrome. » Gastroenterology, vol. 146, no. 1, 2014, pp. 67–75, https://doi.org/10.1053/j.gastro.2013.09.046. Consulté le 17 novembre 2025
- Kajihara, Isao, et al. « Hydrogen Gas Produced by Intestinal Bacteria Attenuates Colonic Inflammation. » Scientific Reports, vol. 7, 2017, p. 44729, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28317855/. Consulté le 17 novembre 2025
- Chassaing, Benoit, et al. « Dietary Emulsifiers Impact the Mouse Gut Microbiota Promoting Colitis and Metabolic Syndrome. » Nature, vol. 519, no. 7541, 2015, pp. 92–96, https://doi.org/10.1038/nature14232. Consulté le 17 novembre 2025
- Melchior, Christine, et al. « Hypersensibilité viscérale et axe cerveau-intestin dans le syndrome de l’intestin irritable. » Hépato-Gastro, vol. 20, no. 6, 2013, pp. 485-492.
- « The American Gut Project. » mSystems, vol. 3, no. 3, 2018, https://doi.org/10.1128/mSystems.00031-18. Consulté le 17 novembre 2025
- « Antimicrobial Resistance in the Food Chain. » EFSA Journal, vol. 19, no. 1, 2021, p. e06366, https://doi.org/10.2903/j.efsa.2021.6366. Consulté le 17 novembre 2025
- Mesnage, Robin, et al. « Potential Toxic Effects of Glyphosate and Its Commercial Formulations Below Regulatory Limits. » Food and Chemical Toxicology, vol. 84, 2015, pp. 133-153. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26282372/ Consulté le 19 novembre 2025
- Bettini, Sofia, et al. « Food Additive E171 (Titanium Dioxide) Induces Gut Microbiota Dysbiosis and Colonic Inflammation in Mice. » Frontiers in Nutrition, vol. 4, 2017, p. 29, https://doi.org/10.3389/fnut.2017.00029. Consulté le 17 novembre 2025
- Karl, J. P., et al. « Effects of Psychological, Environmental and Physical Stressors on the Gut Microbiota. » Frontiers in Microbiology, vol. 9, 2018, p. 2013, https://doi.org/10.3389/fmicb.2018.02013. Consulté le 17 novembre 2025
- « Sondage sur les troubles digestifs en France. » Ipsos, 2023, https://www.ipsos.com/fr-fr/microbiotes-une-prise-de-conscience-qui-progresse-en-france-mais-encore-trop-peu-dactions-concretes. Consulté le 17 novembre 2025
- de Cabo, Rafael, and Mark P. Mattson. « Effects of Intermittent Fasting on Health, Aging, and Disease. » National Institute of Health, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31881139/ Consulté le 18 novembre 2025
- Ma et al. « The Effect of Diaphragmatic Breathing on Attention, Negative Affect and Stress in Healthy Adults » National Library of Medicine, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28626434/ Consulté le 18 novembre 2025
- Kim Mills. « Speaking of Psychology: Expressive writing can help your mental health, with James Pennebaker, PhD », American Psychological Association, https://www.apa.org/news/podcasts/speaking-of-psychology/expressive-writing Consulté le 18 novembre 2025
- Freyssenet, Damien, et al. « Effets de l’exercice physique sur la motilité gastro-intestinale. » Science & Sports, vol. 24, no. 2, 2009, pp. 57-64.









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